Recherche - Développement - Vision
Principaux sujets de recherche du RDV sont l'attention sur l'attention, cognition-observation et perception augmentée, le monde intérieur et son apport au monde extérieur, la pratique de l'enseignement, la vie de l'école, les processus dans les milieux professionnels, principes et potentialités de l'entreprenariat, etc
L'espace de liberté nait du fait de saisir le monde intérieur en toute objectivité. Cette saisie constitue un dépassement des limites actuelles et conduit à une appréhension plus juste du monde extérieur.
Grâce à cet espace de liberté pour comprendre le monde, la vie sociale humaine devient également plus compréhensible, et en particulier ce qui motive les interactions entre tous les êtres humains sur la planète, c'est-à-dire l'économie.
La réalité de la pensée a une place toute particulière dans le monde intérieur. Si nous sommes prêt à considérer notre propre monde intérieur comme un monde spirituel, dont nous voyons à peine les limites et le potentiel, alors le monde entier dans lequel nous vivons peut devenir beaucoup plus compréhensible pour nous.
L'espace de liberté nait du fait de saisir le monde intérieur en toute objectivité. Cette saisie constitue un dépassement des limites actuelles et conduit à une appréhension plus juste du monde extérieur.
Grâce à cet espace de liberté pour comprendre le monde, la vie sociale humaine devient également plus compréhensible, et en particulier ce qui motive les interactions entre tous les êtres humains sur la planète, c'est-à-dire l'économie.
La réalité de la pensée a une place toute particulière dans le monde intérieur. Si nous sommes prêt à considérer notre propre monde intérieur comme un monde spirituel, dont nous voyons à peine les limites et le potentiel, alors le monde entier dans lequel nous vivons peut devenir beaucoup plus compréhensible pour nous.
RDV
Au-delà des limites
L'empathie est sans doute la façon la plus avancée de connaître ou de comprendre un autre être. Certains animaux semblent doués de cette faculté. Cela présuppose l'habilité d'aller au-delà de nous mêmes, et de plonger, de vivre dans un autre être. Est-ce possible? Ou ne faisons-nous qu'imaginer ce que l'autre ressent en référant à nos propres expériences?
Ceci représente un seuil.
Ceci représente un seuil.
l'Acte de Connaître et de Comprendre
L’être humain est un être double, et même triple, si on veut. Mais double car il est pour une large part "physique", tel qu'il se présente à l'observation immédiate dans la plupart de ses manifestations. Cette partie physique étant très évidente, une autre partie, plus subtile en est souvent comme éclipsée. Pourtant cette partie éclipsée, n'est pas la moindre, car elle joue un rôle d'avant plan dans qui nous sommes et dans ce que nous faisons. Cette partie moins visible, pourrait être identifié comme étant le "monde intérieur". C'est un monde qui est d'autant plus invisible, qu'il est assimilé au cerveau, au système hormonale, etc, car par cette association avec le cerveau, il perd toute valeur pour l'observation directe. C'est de là que lui viennent de nombreuses controverses, puisque chacun ne peut, au demeurant du moins, qu'observer le sien. Surtout aussi que ce monde intérieur, et ce qu'il contient, échappe facilement au regard. Et ce d'autant plus, puisque cet exercice d'observation intérieure ne fait malheureusement pas partie de la culture générale. Évidemment, chacun le fait, cette observation intérieure, puisque sans cela, nous ne pourrions ni penser, ni sentir, ni vouloir. Pour penser, par exemple, nous devons bien percevoir nos pensées, même si cette perception nous échappe en quelques sortes, car sans cette perception, nous serions absolument inconscient de nos pensées. Et cette perception même des pensées nous échappent, par le simple fait que nous ne sommes en générale pas intéressées par l’activité pensante elle-même, - car il faut bien que qu'il y ait activité productrice de pensées, les pauvres cellules nerveuses n'en étant nullement capable - , mais plutôt par son résultat, par son produit finale, qu'est la pensée. La pensée est évidemment beaucoup utilisée, car sans elle, il n'y aurait pas de sciences, ni d'ailleurs d'applications aucunes, donc ni d’ingénierie, ni même de technologie, ni de civilisation tout court.
Bougeons un bras, et c'est le monde intérieur qui est en cause. Tout prends là, dans ce monde intérieur, sa source. Même un réflexe, qui semblerait actionné uniquement par une cause extérieure, passe tout de même par cet intérieur. Mais comme cet intérieur n'est absolument pas observée, son étendue et ses propriétés ne sont actuellement quasi pas connu. L'implication du monde intérieur dans par exemple le moindre geste, échappe par conséquent delà l'observation, rien que parce que celle-ci ne s'y applique pas.
Ne pas connaître, par l'observation directe, ce monde intérieur, a des implications pour le connaître lui-même, qui de toute évidence se déroule dans ce monde intérieur. La connaissance du monde en est affectée, et il s'insinue une déformation dans notre compréhension du monde. Ceci d'une part parce qu'on se réfère dans une grande mesure à toutes sortes d'instruments pour "connaître" le monde, qui eux ne peuvent que nous renvoyer des données sur ce monde à l'image d’eux-mêmes, c'est-à dire de nature mécaniste. Et d'autre part parce que les différentes substance présentes dans le monde sont toutes identifiées comme étant "matérielles", donnant l'impression que nous vivons dans un monde matériel, il ne semble dès lors pas possible d'identifier des substances dites spirituelles, qui encore il n'y a pas si longtemps auraient laissé une place à des attributs tels la conscience etc. Notre culture n'ayant effectivement pas développée un regard pour observer mettons la substance de notre conscience, il est très facile de se méprendre sur bon nombres de choses, conduisant par exemple à l'impression très générale que la conscience serait le produit de la matière. De nombreuses inversions du genre sont ainsi commises, où l'on inverse cause et effet, donc où on mets la charrette avant les bœufs.
Pourtant, l'observation directe peut, avec un peu de pratique, arriver à observer, dans le monde intérieur, la substance de la conscience, la substance de la pensée, la substance des émotions, la substance du regard intérieur, etc. Les implications pratiques de ce qui en découlent sont énormes, et non la moindre est le bouleversement de la conception du monde régnante. Cela aurait des implications pour la vie sociale, puisque surtout dans le domaine économique il deviendrait évident à quel point là aussi on inverse cause et effets. Il s'en suivrait donc un assainissement de la vie sociale et économique, en fait toute la structure de la société en serait affectée, y compris la structure étatique.
Mais non la moindre des conséquences serait envers la jeunesse, qui enfin se verrait perçu et compris, puisque là l'aspect double de la nature humaine se manifeste encore avec une grande prépondérance. Il s'ensuivrait une réorganisation du système éducatif d’où de toutes autres mesures pédagogiques deviendraient possible.
Bougeons un bras, et c'est le monde intérieur qui est en cause. Tout prends là, dans ce monde intérieur, sa source. Même un réflexe, qui semblerait actionné uniquement par une cause extérieure, passe tout de même par cet intérieur. Mais comme cet intérieur n'est absolument pas observée, son étendue et ses propriétés ne sont actuellement quasi pas connu. L'implication du monde intérieur dans par exemple le moindre geste, échappe par conséquent delà l'observation, rien que parce que celle-ci ne s'y applique pas.
Ne pas connaître, par l'observation directe, ce monde intérieur, a des implications pour le connaître lui-même, qui de toute évidence se déroule dans ce monde intérieur. La connaissance du monde en est affectée, et il s'insinue une déformation dans notre compréhension du monde. Ceci d'une part parce qu'on se réfère dans une grande mesure à toutes sortes d'instruments pour "connaître" le monde, qui eux ne peuvent que nous renvoyer des données sur ce monde à l'image d’eux-mêmes, c'est-à dire de nature mécaniste. Et d'autre part parce que les différentes substance présentes dans le monde sont toutes identifiées comme étant "matérielles", donnant l'impression que nous vivons dans un monde matériel, il ne semble dès lors pas possible d'identifier des substances dites spirituelles, qui encore il n'y a pas si longtemps auraient laissé une place à des attributs tels la conscience etc. Notre culture n'ayant effectivement pas développée un regard pour observer mettons la substance de notre conscience, il est très facile de se méprendre sur bon nombres de choses, conduisant par exemple à l'impression très générale que la conscience serait le produit de la matière. De nombreuses inversions du genre sont ainsi commises, où l'on inverse cause et effet, donc où on mets la charrette avant les bœufs.
Pourtant, l'observation directe peut, avec un peu de pratique, arriver à observer, dans le monde intérieur, la substance de la conscience, la substance de la pensée, la substance des émotions, la substance du regard intérieur, etc. Les implications pratiques de ce qui en découlent sont énormes, et non la moindre est le bouleversement de la conception du monde régnante. Cela aurait des implications pour la vie sociale, puisque surtout dans le domaine économique il deviendrait évident à quel point là aussi on inverse cause et effets. Il s'en suivrait donc un assainissement de la vie sociale et économique, en fait toute la structure de la société en serait affectée, y compris la structure étatique.
Mais non la moindre des conséquences serait envers la jeunesse, qui enfin se verrait perçu et compris, puisque là l'aspect double de la nature humaine se manifeste encore avec une grande prépondérance. Il s'ensuivrait une réorganisation du système éducatif d’où de toutes autres mesures pédagogiques deviendraient possible.
Regard +, un regard avec de l’égard
Que sait-on du connaître, si le connaître ne se connaît pas lui-même? Les connaissances étant très prisées, qu'en est-il de la connaissance elle-même? Qu'est-ce connaître? Est-ce une opération du cerveau? Est-ce un fait? Peut-on observer l'acte de connaissance? Le monde intérieur, s'observe-t-il? Ou s'analyse-t-il seulement? Nous partirons à l'observation des faits intérieurs, qui, tels des objets du monde extérieur, se révèlent, à l'observation, dotées de propriétés bien étonnantes. La clé de la compréhension du monde s'y trouve. Enfin pourrons-nous aborder celui-ci avec l’égard qui lui est dû. Les enfants se verrons reconnus, compris. Et nous pourrons créer une société, qui leur offre l'espace de croissance dont ils ont besoin.